Marine Bonzom - Artiste Peintre Biarritz - Alētheia
ALĒTHEIA
#6

23 x 23 x 1,5 cm

INFORMATIONS

Pigments Naturels;
dont Malachite,
Terre de Sienne,
Ocre Jaune,
Pigment d’or,
Mica.

Sur papier 265 g/2m
90 % fibre de bambou – 10 % coton
Papier pressé à froid – matte – grain fin
Sans acide – 100 % vegan

Encadré avec passe-partout blanc cassé

Encadrement en chêne clair véritable
Fabriqué en France

ŒUVRE UNIQUE, SIGNÉE AU DOS

Décembre 2025

VENDU

 

ALĒTHEIA : une série limitée de 10 œuvres numérotées, entièrement consacrée aux détails précieux de la nature.

Chaque pièce est présentée dans un élégant encadrement en pin clair, un voyage intime dans les textures, les couleurs et les fragments du monde naturel. Cette série a été travaillée avec des pigments naturels d’exception : lapis-lazuli, chrysocolle, rouge de Perse, rhodonite, cobalt, malachite, rose de Garance, terres de Sienne jaune et de Naples, ainsi que de nouveaux pigments inédits qui apportent une profondeur et une luminosité uniques à chaque composition.

Cette collection célèbre la beauté des détails : une écorce, un pétale, une pierre, un reflet. Chaque œuvre capture un instant de contemplation, une invitation à ralentir et à observer. Ces petites œuvres sur papier sont autant de concentrés d’énergie pure, où chaque pigment naturel révèle sa force primordiale. Tels des petits totems, elles capturent l’essence vibratoire de la matière brute. Les pigments expriment leur pureté dans un dialogue spontané avec le papier, révélant des formes organiques, presque respirantes. Véritables catalyseurs d’énergie, ces œuvres minimalistes prouvent que la puissance artistique réside dans l’intensité vibratoire de la matière.

Alētheia signifie vérité comme dévoilement progressif du réel, qui se révèle peu à peu. Ce qui sort de l’oubli et met en lumière ce qui est, une forme d’évidence rendue manifeste.

Alētheia # 6 dévoile un tissage de nuances où chaque fragment semble porter une mémoire. Dans les zones vertes, de fines variations presque imperceptibles se répondent ; des transitions si délicates qu’elles semblent vibrer plutôt que simplement changer de ton. Les éclats de mica, discrets mais présents, accrochent la lumière comme des signes furtifs, révélant des chemins que l’œil ne perçoit qu’en s’attardant.

Les strates de terre et d’ocre laissent apparaître des mouvements subtils, des traces légères, comme si la matière avait conservé l’empreinte d’un souffle ou d’un passage. Rien n’est figé : tout semble en lente transformation.

Alētheia # 6 invite à s’approcher, à plonger dans ces détails presque secrets où le minéral devient le seuil d’un espace plus vaste, un espace qui touche au cosmique sans jamais le montrer directement, seulement par résonance et profondeur.